Louis, 34 ans, revient un dimanche dans la maison familiale après des années d’absence. Il pense venir pour dire quelque chose d’essentiel, mais ce sont les autres qui s’emparent du silence. Les retrouvailles tournent à la cacophonie, les mots s’entrechoquent, l’écoute s’effrite.
Guillaume Barbot signe une mise en scène viscérale, sensorielle, traversée de rythmes et d’images. Une famille en déséquilibre, du temps qui glisse, de l’amour qui déborde.
Juste la fin du monde ne parle que d’amour, d’amour qui se dit mal, d’amour en trop plein, d’amour qui blesse. Et de temps, du temps qui passe, du temps qui laisse des empreintes, du temps qui nous englue.
Ce sera le temps de l’amour.
Ce sera juste la fin du monde.
