Par les temps obscurs que nous traversons, nous avons voulu convoquer dans la joie l’esprit des lumières avec Jacques le fataliste, écrit par Denis Diderot en 1784.
Est-ce que tout est écrit par avance, ou avons-nous la liberté d’agir ?
Ce roman à tiroir, philosophique et impertinent, nous parle avec force de philosophie… et d’amour.
Il nous rappelle que ce que nous aimons par dessus-tout, ce sont les histoires. Et pas n’importe lesquelles, les histoires d’amour. Oui, rien ne nous intéresse plus que les ragots et les discussions de comptoir. Les séries télé des années 80 l’ont bien compris, et le procédé est usé jusqu’à la corde. C’est sans compter sur l’humour et la subtilité de Diderot qui joue avec notre curiosité comme les cliff-hangers des séries. Et qui joue avec ses personnages. Car l’ordre établi entre le maître et le valet vole en éclat rapidement. Il y a du Don Quichotte, du Scapin, des liaisons dangereuses dans Jacques le fataliste.
Nous transformerons le plateau de la Faïencerie en un café du commerce le temps d’un soir, où vous êtes invités à venir trinquer avec nous dans une bonne ambiance pour se raconter des histoires d’amour… pleines de rebondissements.