ADRC

Accès aux films

Par la mise en place pour les ciné­mas d’ac­cès ADRC à des films d’ex­clu­si­vité (entre 200 à 250 par an), l’ADRC agit toutes les semaines pour amélio­rer l’ac­cès des salles et des publics à la diver­sité des films et des ciné­ma­to­gra­phies. L’ADRC contri­bue ainsi acti­ve­ment à la vita­lité d’un réseau diver­si­fié de salles indé­pen­dantes sur l’en­semble du terri­toire, consti­tuant un maillage d’ac­cès au cinéma unique au monde.

Par ailleurs, alors que la diffu­sion et l’ex­ploi­ta­tion ciné­ma­to­gra­phique se concentrent toujours plus sur une mino­rité de loca­li­tés et sites prio­ri­taires, les actions de l’ac­cès aux films ADRC concernent envi­ron 80% des communes équi­pées d’une salle de cinéma.

Patri­moine ciné­ma­to­gra­phique

Depuis 1999, l’ADRC s’en­gage pour soute­nir et accroître la diffu­sion des films du patri­moine ciné­ma­to­gra­phique, y compris les courts métrages et les films desti­nés au jeune public. Le dépar­te­ment patri­moine accom­pagne égale­ment les salles dans leurs poli­tiques d’ani­ma­tion par l’édi­tion de docu­ments à l’adresse du public et la mise en rela­tion avec des inter­ve­nants pour des confé­rences, ciné-concerts, anima­tions jeune public…

Struc­ture ressources et d’études

De par ses missions, ses compé­tences et ses actions, tant sur les salles de cinéma que pour leur accès aux films, l’ADRC consti­tue une struc­ture d’in­ter­ven­tion et d’étude unique sur les évolu­tions conjointes de l’ex­ploi­ta­tion et de la diffu­sion du cinéma en salles.

La compo­si­tion de l’as­so­cia­tion, origi­nale par sa trans­ver­sa­lité, regrou­pant les six secteurs d’ac­ti­vité prin­ci­paux impliqués dans ces évolu­tions, consti­tue par ailleurs un cadre judi­cieux pour leur évalua­tion.

Acces­si­bi­lité

L’ADRC, acteur de sensi­bi­li­sa­tion, d’in­for­ma­tion et de conseils pour l’ac­ces­si­bi­lité des salles et des films, agit pour : 

– La prise en compte des ques­tions d’ac­ces­si­bi­lité dans ses missions d’études et de diag­nos­tic de projets de salles. 

– La sensi­bi­li­sa­tion des exploi­tants et collec­ti­vi­tés terri­to­riales lors de forma­tions. 

– L’in­for­ma­tion auprès des program­ma­teurs sur la dispo­ni­bi­lité de versions en audio-descrip­tion (AD) et sous-titrées pour les sourds et malen­ten­dants (ST SME) pour les films d’ex­clu­si­vité et de patri­moine. 

– Le déve­lop­pe­ment de parte­na­riats avec des asso­cia­tions enga­gées sur les ques­tions de l’ac­ces­si­bi­lité du cinéma : Ciné-Ma diffé­rence et Ciné­Sens. 

– La produc­tion de statis­tiques et analyses sur l’évo­lu­tion de l’ac­ces­si­bi­lité des films. 

– L’ex­per­tise et la mutua­li­sa­tion des savoirs : l’ADRC parti­cipe à l’édi­tion de rapports profes­sion­nels et aux réflexions du groupe de travail du CNC sur l’ac­ces­si­bi­lité. 

Iden­tité des salles

Par ses inter­ven­tions en matière de diffu­sion, d’ani­ma­tion, d’in­for­ma­tion, d’as­sis­tance aux projets de salles et de conseils archi­tec­tu­raux, l’ADRC veille à renfor­cer et déve­lop­per l’iden­tité des salles de cinéma dites « de proxi­mité », l’an­crage dans leur terri­toire et leurs capa­ci­tés d’ac­tion cultu­relle.